Vivre et/ou mourir dans une zone occupée de Santiago du Chili
Santiago est souvent considérée comme la seconde ville sud américaine en termes de qualité de vie. Ce qui n'est pas vrai pour tous. Le CIPER (Centre d'Investigation et d'Information Journalistique) a détecté au moins 80 secteurs de la capitale chilienne où
des milliers d'habitants vivent sous la loi du plus fort.
Ce sont plus de 650.000 personnes qui doivent survivre entre bandes de narcotrafiquants et de délinquants. Bien que ceux-ci ne forment qu'une infime frange de la population, essentiellement composée de travailleurs, chômeurs, femmes aux foyers et étudiants, ils ont réussi
à imposer leurs règles, auxquelles les autres n'ont d'autre choix que de se soumettre. Parmi les habitants, le sentiment d'abandon par les autorités prédomine.
C'est ainsi qu'aujourd'hui s'organise la vie dans une zone occupée de Santiago.
Un reportage du : Centre d'Investigation et d'Information Journalistique (CIPER) ...
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Photographie: Vallée de Viñales, province de Pinar del Río. La région a été inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO en 1999 ...
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