(Faites attention. Il est très puissant. Une femme lui a demandé de ne plus jamais revoir sa soeur, et dans l'instant elle devint aveugle, piégée par la formulation de son voeu)
Photographies de: Sebastián Hacher, photographe, journaliste. Membre de la Coopérative Sub et auteur du livre "Gauchito Gil".
Gauchito Gil est le saint des pauvres. Après sa mort injuste entre les mains de la police, en 1878 à Mercedes, Argentine, sa réputation de protecteur des humbles, des sans-papiers et des aventuriers s'est transmise de bouche à oreille. Sa fête attire
200.000 personnes chaque 8 février.
"Ce 8 février est ensoleillé. L'arbre d'où Gauchito fut pendu est peint en rouge. La fontaine qui l'entoure se remplira de cire de la même couleur, coulant des cierges des dévots. A quelques mètres de là une croix et un sanctuaire indiquent le lieu
où Antonio Gil fut enterré. Pour y arriver, il faut endurer cinq heures de queue en plein soleil. Pendant le trajet nous passons par une kermesse, échangeons nos expériences avec d'autres dévots, achetons des images du saint et surtout écoutons les offres et les
histoires des commerçants. On ne peut faire un pas sans se cogner avec un vendeur de cierges, T-shirts, serpents en bois, certificats de foi ou petits bonnets à l'effigie du saint".
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Ciudad Juárez, en la sombra del narcotráfico
"Il y a 12 ans, Ciudad Juárez s'est transformée en la coupable de ce que je sois profondément tombée amoureuse du Mexique. Aujourd'hui, mon coeur mexicain né en Espagne résiste à deux mots très mexicains. Il résiste à "ni
modo" (rien à faire …) Ce blog montre mon amour douloureux pour Ciudad Juárez, frappée encore une fois par ce qu'on nomme la guerre contre le narcotrafic".
Judith Torrea, auteur du blog "Ciudad Juárez, à l'ombre du narcotrafic", a reçu cette année le Prix Ortega y Gasset de journalisme ...
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